Reconnu par les critiques internationaux, Vito Cecere nous fait le plaisir d’un detour par la galerie 21.
qui ne le submergent spontanément. Il peint au doigt, ce qui nécessite de poser la toile à plat sur le sol. Pour juger de l’effet, l’artiste monte sur une chaise, afin de pouvoir avoir du recul. Dans cette sorte d’atelier vertical, tout cela est evidemment
très physique, presque charnel, d’autant plus qu’il se pose un défi. En effet, Vito veut peindre des toiles de plus en plus grandes:
les contraintes augmentent, puisque ce challenge l’oblige à anticiper et à fabriquer ses cadres lui même. Le temps de sèchage est long, il faut donc plus de temps pour pouvoir retravailler la toile , plus d’huile de coude et de peinture et à nouveau anticiper..
Vito a été sélectionné pour présenter 2 de ses oeuvres au grand palais à Paris ( automne 2010) pour ART EN CAPITALE.