Marie-Claude travaille la terre depuis une vingtaine d’année.« Ce que je désire par dessus tout, c’est garder la mémoire de la terre, ses imperfections,la maladresse primitive de la création. La terre a sa propre vie. Une fois la pièce terminée,l’humidité,la lumière, la chaleur viennent caresser la terre durant le temps de sèchage.La terre absorbe toutes ses informations et nous les rends lors de la cuisson. Une deuxième cuisson  » raku  » restitue les teintes des émaux et des oxydes avec des craquelures, des couleurs,des reflets de lumière et des traces de suie à toujours insoufflés à la pièce de céramique. »

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